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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 08:00

Continuons notre vulgarisation du film policier là où nous l’avons laissée, en reprenant les mêmes bases mais en changeant de salle de cinéma. Cette fois-ci, c’est le Club de l’Etoile dans le dix-septième arrondissement de la capitale française, qui nous ouvre ses portes. Autant dire le grand luxe avec son hall des plus raffinés, ses revêtements en bois noble, son balcon, sa belle hauteur de plafond, ses fauteuils (un peu trop) moelleux et son bel écran de 7 mètres. Il m’a semblé que la projection n’était pas en 4K, mais je ne mettrais pas mon animal de compagnie à couper. L’image reste plus que correcte même si la luminosité me paraît en-deçà de ce qu’autorisent les ligues de vertu.

 

A côté de moi : un drôle de petit bonhomme dont le costume vieillot me dit qu’il doit s’agir d’un professionnel de la profession. C’est ainsi qu’on appelle cette population anachronique qui publie encore ses critiques dans la presse écrite. Non, ne vous moquez pas, camarades, être professionnel de la profession est un beau métier qui, s’il n’a pas l’utilité qu’on lui suppose, a au moins le mérite de faire rire l’autre catégorie de critiques, celle qui est moins costumée mais plus moderne : les geeks. Ce n’est pas tant le costume qui est un signe distinctif de cette espèce en voie de disparition, que sa propension à respecter un certain nombre de règles. Le geek, lui, est plus punk dans l’approche mais plus résigné dans les faits : il ne croit plus en aucune règle même s’il avoue que certaines font de bons films. Quant à moi, j’ai toujours pensé que le cinéma est un univers sans règles dont certaines sont immuables. Mais pour aujourd’hui j’ai été étiqueté dans la seconde catégorie, et je suis bien obligé de rire de ce rustre qui s’est paré d’un petit carnet et d’un petit stylo. Et il note dans le noir avec son petit stylo qui fait une petite lumière pour qu’il y petit-voit bien, lui qui n’a même pas la simple élégance de prendre des notes sur son Iphone ! Archaïsme intégral. Et là, chers camarades, je m’adresse à vous qui tergiversez à franchir le pas de la critique cinématographique via la passerelle des blogs. Si vous vous décidez enfin, voilà un bel exemple à ne surtout pas suivre. Ne prenez jamais de notes pendant que vous regardez un film. Jamais ! Cela ne sert à rien. Vous allez probablement manquer des faits importants pendant la prise de notes et il y a fort à parier que vous n’arriverez pas à vous relire plus tard. Je sais bien que l’idée qui se cache derrière tout cela c’est de ne pas oublier une notion qui vous traverse l’esprit et dont vous auriez du mal à vous souvenir après coup. Alors d’abord, j’ai une grande révélation à vous faire : être critique c’est du boulot. Si vous n’êtes pas capable de faire l’effort de vous souvenir d’une idée en plein milieu d’un film c’est soit que vous devez arrêter tout de suite de faire cette chose pour laquelle vous n’aurez rien à dire puisque vous ne vous souviendrez pas de grand-chose, soit que cette idée n’en valait probablement pas la peine. Sachez qu’après avoir vu un film, ce qui est le plus important c’est cette impression première qui subsiste en vous. C’est elle que vous devez décrire et qui va innerver votre propos. Vous vous souviendrez toujours des choses les plus importantes, de celles qui vous ont marqué, des faits principaux, d’une manière de filmer etc. Tout ce qui a retenu votre attention ne peut pas disparaître si vous en faites l’effort. Evidemment, écrivez votre critique assez rapidement car d’ici deux jours, tout cela commencera déjà à s’évaporer. Et puis, ne craignez pas de ne pas être exhaustif (et de faire des doubles négations le cas échéant !) Il ne sert à rien de dire tout, absolument tout ce qui vous est passé par la tête à chaque plan, tout ce que chaque scène a suscité de réactions en vous. Je le répète, c’est la sensation générale, l’atmosphère du film, comment vous l’avez reçu, ce que vous en pensez, tout ce qui part de vous qui est essentiel. A partir de là vous pouvez fouiller, aller plus loin, nourrir une réflexion. Car si vous n’avez que 30 lignes à écrire sur un film que vous venez de voir, même si vous ne l’avez pas aimé, il est probable que n’avez pas grand-chose à dire car vous n’avez pas fait correctement votre boulot. Regardez bien la plupart des blogs, ils sont remplis de ces avis qui se limitent à « j’ai aimé » ou « je n’ai pas aimé », et se terminent là où ils devraient commencer à faire de la critique. Dites-vous bien que si ce n’est pas suffisamment long ce n’est pas suffisamment pro. Vous avez déjà lu les critiques de Pauline Kael et remarqué leur longueur ? Attention, l’inverse n’est pas forcément vrai. L’adage « plus c’est long, plus c’est pro » est un hoax ! Je m’arrête là car une lecture psychanalytique de cet article pourrait déceler un processus inconscient sur l’importance de la taille. C’est donc bien pour tout cela que les professionnels de la profession n’ont de professionnelle que la dénomination. Pour moi, ils sont professionnels de haïkus cinématographiques, c’est à peu près tout. Et puis, une dernière chose : ne mettez pas de note au film. 5 sur 10, 18 sur 20, 2 étoiles… Vous imaginez :

 

JACQUES AUDIARD : Salut, Jean-Luc, tu vas bien ?

JEAN-LUC GODARD : Ca va. Et toi ?

JACQUES AUDIARD : Pas super. T’as lu le dernier Télérama ? J’ai eu 4 sur 20 en cinéma.

JEAN-LUC GODARD : Ah oui, effectivement, ce n’est pas beaucoup. Comment t’as fait pour tomber si bas ? Demande des conseils à Christophe Honoré, il a toujours la moyenne chez eux.

JACQUES AUDIARD : Oui, c’est vrai. Mais moi je n’ai pas d’amis chez Télérama…

JEAN-LUC GODARD : On devrait faire comme le permis à points. Tu perds des points en dessous de la moyenne, et quand tu n’en as plus tu dois le repasser. On mettrait Nanni Moretti en examinateur, ça serait pas mal.

JACQUES AUDIARD : Ah… Et qui donnerait les leçons ? Les mecs de Télérama ?

JEAN-LUC GODARD : Ils les donnent déjà mais tu n’écoutes pas !

 

S’il vous plaît, pas de notes ! Nous ne sommes plus à l’école. Le cinéma c’est des émotions, pas des médailles. Donner des notes c’est éviter de parler du film.

 

Il était donc une fois un petit bonhomme qui ne savait pas qu’il ne fallait ni prendre ni mettre de notes. Et moi qui m’installai à sa droite, pris d’un rire très arrogant parce que très geek. J’ai toujours été très intrigué par ces professionnels de la profession qui regardent un film petit stylo à la main. Que peuvent-ils donc bien noter de si important qu’il est impossible de s’en souvenir par simple effort mémoriel ? Et tout à coup, en pleine séance, je comprends tout. La révélation est immédiate et implacable. Le film se déroule tant bien que mal sur l’écran quand j’en suis extrait malgré moi par le bruit qui surgit de ma gauche. Pas très vif mais suffisamment sonore pour perturber mon attention devenue préalablement danoise. Sans tourner la tête j’écoute désormais avec mes yeux. Et je dois me rendre à l’évidence : le petit bonhomme dort !!! Ses ronflements sont discrets mais ne peuvent m’échapper. Quelques siestes-éclairs à la suite desquelles il relève sa petite tête, s’arme de son petit stylo, allume sa petite lumière et prend de petites notes qui me poussent à étouffer ce rire geek qui devient profondément guttural. Et là, tout fait sens. Non seulement les professionnels de la profession dorment durant les projections, ceci explique cela, mais les quelques notes qu’ils prennent ne concernent en rien le film, elles ne leur servent qu’à noter leurs rêves avant de ne plus s’en souvenir.

 

Si vous avez suivi notre aventure précédente, le Département V fut ouvert dans KVINDEN I BURET. Il s’agit d’un bureau où Fares Fares et Nikolaj Lie Kaas vont devoir travailler ensemble pour classer les affaires non résolues des 20 dernières années. Et cela démarre plutôt bien pour eux car ils reprennent une affaire sur laquelle tout le monde s’était cassé la pomme d’Adam, et sans test A.D.N., sans ordonnance du procureur, sans même avoir lu le roman d’où est tirée cette histoire, ce qui les aurait grandement aidés, ils arrivent à la résoudre en moins de temps qu’il n’en faut pour dire : « Allons à la plage, monsieur Renard ».

 

FASANDRÆBERNE débute sur ces quelques informations au cas où de nouveaux spectateurs prendraient le train en marche. Et c’est assez symptomatique des écueils et des maladresses dans lesquelles le film ne cesse de tomber.

 

Fort de son succès précédent, le Département V devient une petite affaire prospère et double ses effectifs. Une secrétaire plus un chat. Et c’est parti pour un nouveau dossier dans lequel Nikolaj Lie Kaas va entièrement s’impliquer. Le rôle de Fares Fares est encore très nettement en retrait. Une sorte de faire-valoir qui n’amène que peu d’informations, qui se contente souvent de tempérer les ardeurs de son collègue. Accessoirement, dans KVINDEN I BURET, il peut aussi sauver la vie de Kaas si Chuck Norris est occupé ailleurs.

 

C’est donc en terrain balisé que démarre ce deuxième épisode. Nous sommes dans du serial et nous n’allons pas échapper aux cycles inhérents à ces productions. Mikkel Nørgaard reste à la réalisation et conserve tous les aspects mis en place précédemment pour créer une unité formelle. Je ne suis toujours pas convaincu par la photographie. C’est sous-éclairé et plein de zones d’ombres. Vous remarquerez ici l’adéquation opérée avec les intrigues qui portent en elles tout ce qui fait écho à la part d’ombre chez l’homme, à ce qui est caché, sombre, tenu sous clef, inconscient. Nous allons y revenir.

 

Pour l’heure, nos deux camarades s’immiscent dans leur nouvelle mission et vont à la pêche aux indices. Le problème du film à enquête c’est qu’il a tendance à rester verbal car pour pouvoir faire avancer l’enquête il faut apprendre des choses. Encore plus lorsqu’il est adapté d’un roman, si le film reste dans les mots il ne raconte plus l’histoire. Pour progresser dans une intrigue, il faut donner envie au spectateur de savoir ce qu’il va se passer dans la scène suivante. Il faut donc créer du mystère, du suspense. Il est aussi possible de jouer avec ce qu’Alfred Hitchcock appelait le MacGuffin. Malheureusement, FASANDRÆBERNE n’en tire pas les leçons et tombe dans le syndrome BFM-TV dit « syndrome de l’information en continu ». Durant les 2 premiers tiers du film, les enquêteurs se bornent à rencontrer des personnes pour obtenir des informations utiles, ou à discuter entre eux pour recouper ces informations. Tout cela crée une masse de données qui, certes, permettent d’assembler petit à petit les pièces du puzzle mais noient le spectateur sous des éléments asphyxiants et des processus rébarbatifs. Le syndrome BFM-TV est un syndrome journalistique où seule une voix raconte une histoire. Parfois le journaliste est à l’écran, parfois en voix off. Ce qui ne change jamais c’est le processus purement narratif. Au cinéma ce ne doit jamais être le personnage qui doit raconter l’histoire. Il n’y en a qu’un qui peut se permettre cela, c’est le réalisateur. L’information pose la question de la compréhension. Oui, pour comprendre l’histoire le spectateur a besoin d’être informé, d’en apprendre davantage sur ce qu’il s’est passé, mais si le réalisateur ne fait pas montre de son talent, il va alors se contenter de faire dire à ses personnages ce qui est exactement écrit dans le roman, ou alors il vous faudra lire une lettre à l’écran qui vous apprendra ce qu’est devenu la jeune fille etc. Il n’y a rien de juste ou de faux là-dedans. C’est facile, c’est tout. C’est pour cela que les films hollywoodiens sont remplis d’informations qui sont censées nous apprendre où nous sommes ou qui sont les personnages : « Tiens, passe-moi la télécommande, toi qui est ma sœur, pour que je regarde ma série préférée qui passe sur la 2. »

 

C’est d’autant plus frustrant que le film sait raconter par l’image à de rares moments. En témoigne la scène du stylo planté dans la jambe. C’est sans exploit notable, mais très bien découpé et l’espace d’un instant très bref, nous sommes tenus en haleine, totalement dévoués au suspense. Vous noterez aussi que cette scène est gâchée par un effet sonore qui souligne le coup porté, et en amoindri donc son impact.

 

Le film se poursuit avec cette circularité propre à toutes les séries, et qui mène géométriquement à une impression de tourner en rond. L’information nourrit l’information, les discussions sont propices à des champs-contrechamps assez bêtes et une scène surgit vaguement pour insuffler un peu d’action artificielle. Sans oublier le même emploi des flashbacks qui avait été fait dans le numéro 1 : des flashbacks à deux vitesses qui apprennent au spectateur ce que les policiers ne sauront jamais.

 

Alors, cette fois, l’intrique est plus intéressante car elle fait appel à une mécanique de personnages et de buts moins convenus. L’écheveau est indélicat et ne se dévoile que très tard. Mais il fait face à quelques stéréotypes poussiéreux qui confinent au comique, tels les junkies aux yeux cernés, toujours la morve au nez et qui s’expriment comme Mathilde Seigner. Il y avait une idée intéressante avec ces populations huppées qui s’adonnent à des jeux sexuels déviants, dominateurs et sombrement pervers. C’est dommage, cela ne sert qu’à délimiter un cadre d’action sans jamais approcher son contenu.

 

Alors, comme il n’y a pas de sauce avec la viande, FASANDRÆBERNE va se mettre à développer dans son dernier tiers une galerie de petites scènes d’où éclot une violence très fabriquée. C’est probablement pour cela que ce film a été préféré au premier pour une sortie en salles. Nous sommes là dans une escalade douloureuse pas vraiment utile, pas vraiment gratuite non plus, comme si seule la représentation du sordide et du choquant intéressait le réalisateur. Chose qui tient son point d’orgue dans la résolution finale qui pourrait très bien se terminer en happy end, mais qui sombre dans le plus improbable par simple choix scénaristique.

 

Par son incapacité à sonder les thèmes qu’il charrie, FASANDRÆBERNE (et de manière plus large les films du Département V) se réduit à son intrigue policière, tout en essayant d’établir des analogies avec le drame intérieur du personnage principal. A la fin du film, Nikolaj Lie Kaas rouvre un dossier dont nous avions parlé la fois dernière, celui de son fils avec qui il n’entretient plus qu’une relation distante, éminemment lapidaire. Armé de deux bières, il frappe à sa porte pour essayer de renouer une relation qui s’est désagrégée avec le temps, qui s’est vidée de toute consistance. A travers ses intrigues, le Département V évoque cela, à défaut d’en parler. Comment nos vies changent du jour au lendemain et font de nous des personnes radicalement différentes, probablement enfouies dans ce que nous détestions le plus, très certainement éloignées de celui ou celle que nous étions précédemment. Cette cellule intérieure où nous voilà réfugiés est la seule qui peut nous protéger parce que personne ne viendra nous y chercher. C’est le seul endroit où nous pouvons encore être seuls ; grotte ascétique où se réfugie celui qui sait qu’il ne pourra plus être celui d’avant, et ne sait pas encore celui qu’il pourrait devenir. Même pour les vivants il existe des limbes. C’est dans cet ordre d’idée que s’inscrit le principe esthétique de ces deux films. Couleurs ostracisées et lumières appauvries nourrissent ce sentiment d’irréalité où gravitent des masses qui ne sont plus des corps, et des âmes qui ne sont plus que des états. Tout se cache, tout se tapit dans l’ombre. Le réalisateur survole ces sujets sans les affronter comme Nikolaj Lie Kaas affronte chaque dossier. Voilà comment il aurait pu enrichir son personnage par son aptitude à se relever de ce type d’épreuve, à rentrer dans la lumière. Plutôt que d’en proposer un collage peu signifiant, il aurait peut-être été préférable que les liens se tissent entre des enquêtes dans lesquelles se jette Nikolaj Lie Kaas, et sa vie privée prête à s’inspirer de son exemple professionnel et redéfinir les bases de ce nouvel homme en construction. Un beau sujet, des questionnements passionnants, des tresses scénaristiques vivifiantes, il y avait là beaucoup de promesses...

 

 

N. B. : Le lecteur docte et aventurier aura deviné l’hypotypose et la caricature des professionnels de la profession qui orne la première partie de cet article. Il aura bien évidemment fait le distinguo entre la généralité et le tangible. Et afin de lever toute ambiguïté, il aura bien évidemment fait le rapprochement avec celui qui parle le mieux de ces professionnels, j’ai nommé Didier Super, dans cette chanson :

 

 

commentaires

T
Oui je sais, je suis en retard, mais je vais me rattraper….<br /> Justement hier après-midi, je parlais d'une critique de film sur Télérama à Odomar….:)) Il m'a répondu "faut se méfier de télérama….:)) faut voir qui l'a écrite….<br /> Excellent le dialogue avec JLG !!<br /> Sinon, tu as mis la chanson en pensant à Odomar j'espère……..ah ! ah ! ah !!!!<br /> Je ne risque pas d'être invitée par Maraval, je ne fais pas partie de l'élite, la preuve c'est que j'ai été obligée de prendre le dico (virtuel c'est moins lourd….) pour comprendre la signification du mot "hypotypose"….mais je me cultive grâce à toi….<br /> Vivement que tu voies pour nous le 3ème volet de Département V, j'ai hâte de "lire" ça !!!
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M
ODOMAR ---> EH OUI, C'EST LA DURE LOI DES REDACTIONS PAPIER ! EN FAIT, JE FAISAIT REFERENCE A DE FUTURS BLOGONAUTES, A CEUX QUI NE SERAIENT PAS LIMITES PAR LA PLACE OU PAR LA CENSURE DE LIGNES EDITORIALES. JE N'ETAIS PAS ASSEZ CLAIR SUR CE POINT, JE VAIS APPORTER UNE PRECISION DANS L'ARTICLE.
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O
Sur la critique en particulier, activité que j'ai exercée pendant plus de 40 ans :<br /> - vraiment d'accord sur ceux qui prennent des notes pendant la projection (en gênant tout le monde), je ne l'ai pas fait une seule fois et ne comprend pas ceux qui le font.<br /> - sur la longueur, n'oublie pas que nous sommes dépendants d'une rédaction et d'une mise en page calibrée. Avoir autant de place qu'on veut c'est le luxe. A un moment, j'avais 900 signes pour le film principal de la semaine ! Parfois, il faut rédiger une notule de 300 signes.....
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