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«Elle est expressive et tous mes défauts y sont»: Léa Salamé découvre sa statue de cire au musée Grévin

NOUS Y ETIONS - Jeudi soir, le double de cire de la journaliste de France 2 et France Inter a fait son entrée dans l’établissement parisien devant la principale intéressée.

Léa Salamé a passé sa Saint-Valentin avec une Valentine. Jeudi soir, devant Bernard Pivot, Jean-Claude Jitrois, Daniel Lumbroso ou encore Gérard Holtz, la présentatrice de L’émission politique a découvert sa statue de cire au musée Grévin. «Ça fait bizarre, a-t-elle répété à son arrivée. Je me demande toujours ce que je fais là, j’ai l’impression d’être l’erreur de ce musée». Face aux photographes, elle semble d’ailleurs gênée. «Je me mets où? À côté d’elle? C’est bien de sourire?», questionne-t-elle avant de juger le travail des sculpteurs réussi. «Je trouve la statue assez ressemblante. Elle est expressive et tous mes défauts y sont: les dents en avant, les petites ridules, les kilos en trop...». Pour créer son double, elle a passé une demi-journée dans les ateliers. «Ils m’ont scannée de partout, de la tête aux pieds, ils ont fait tout un tas de photos».

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Hommage ou non à son magazine culturel Stupéfiant! , sa figurine grandeur nature est située dans un nouveau décor, l’étage cinéma, entre celle de Carole Bouquet, Angelina Jolie ou encore Omar Sy. Dans le coin d’un couloir d’hôtel, elle interviewe Al Pacino. «Tant mieux si c’est un hommage à Stupéfiant! C’est un beau cadeau pour cette émission culturelle qu’on porte à plusieurs», commente-t-elle.

«Je ne pose pas en famille»

Quand l’Académie du musée Grévin l’appelle il y a un an pour l’inviter à figurer dans l’établissement, Léa Salamé croit à une plaisanterie. «Je leur ai dit ‘Pourquoi moi au milieu de toutes les stars?’», complète la matinalière la plus écoutée de France. Elle est aujourd’hui la troisième femme journaliste à intégrer le musée, après Anne Sinclair et Christine Ockrent. C’est d’ailleurs ce qui la convaincra d’accepter la proposition. «Ce sont deux références pour moi. Je trouve ça beau et fort pour la profession de journaliste qui est en ce moment si décriée, critiquée et vilipendée. Après si j’avais dû voter, j’aurais choisi Élise Lucet», nous indique-t-elle encore.

La principale intéressée mesure le symbole que son entrée au Grévin représente. «Je pense à ma grand-mère libanaise qui est maintenant décédée. Elle aurait été émue aux larmes de me voir ici». Le jour de l’inauguration, tous ses proches sont présents: ses parents, qui poseront avec le personnage, son compagnon Raphaël Glucksmann, son beau-flis Alexandre et plusieurs amis dont Séverin, l’artiste avec qui elle a récemment accepté de faire un duo. Mais aucune photo avec le clan ne sera prise. «Je ne pose pas en famille», répondra-t-elle avec un large sourire à un photographe qui a tenté de la réunir avec son Valentin. Sur le tapis rouge, ce dernier sera remplacé par Anne-Roumanoff, également invitée.

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11 commentaires
  • 2645353 (profil non modéré)

    le

    Le musée grevin,j’honore le travail des plasticiens.... les sculpteurs sont prodigieux . Réalisation éphémère.

  • Bertrand J.

    le

    Pensez-vous sérieusement qu'un musée parisien trouve qu'une Léa Salamé, journaliste ordinaire à la télé, soit digne de figurer en compagnie de personnages méritant que la France leur rende hommage ?
    Croyez-vous qu'un Michel Legrand ne mériterait pas de passer devant elle ?

  • 2645353 (profil non modéré)

    le

    travail superbement réalisé, Léa son attitude,expression,bien restituées, bravo les artistes....

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