Intrusion à la Pitié-Salpêtrière: nos journalistes racontent

Pierre Zéau et Wladimir Garcin-Berson étaient présents aux abords de l'hôpital parisien lorsque des manifestants sont entrés dans l'enceinte. Ils décrivent une foule qui cherchait à se protéger.

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44 commentaires
  • Sophie34500

    le 4 mai 2019

    Depuis qd le jardin ou l en vente f un hôpital est il.un endroit interdit

  • Hector1986

    le 3 mai 2019

    @simple citoy001 Avant tout, il faut savoir que le lieu en question est un hôpital, ce qui n'était pas indiqué et était ignoré par de nombreux manifestants. Ensuite, ils n'ont pas pénétré dans le bâtiment lui-même mais dans le jardin. Ils ont essayé d'entrer mais lorsque le personnel leur a expliqué que c'était un service de réanimation ils ont cessé d'essayer d'entrer. Enfin, dans un état de nécessité comme celui-là, il s'agit d'un cas de force majeure: plus d'air respirable, bloqués dans un air totalement vicié par la police, on peut sentir sa vie menacée et estimer devoir faire le nécessaire pour rester en vie... Imaginez-vous poursuivi par des gens armés qui veulent vous tuer, avec comme seule échapatoire que d'entrer à l'hôpital... franchement, vous n'essaieriez pas d'y entrer vous...?

  • simple citoy001

    le 3 mai 2019

    On ne cherche pas à se protéger en entrant dans un hôpital ce qui risque de mettre les malades en danger ainsi que le corps médical. La presse ferait bien d'expliquer qu'en aucun cas la violation d'un espace hospitalier ne peut se justifier par une peur personnelle ou alors on peut tout justifier.