Derniers commentaires et analyses
par Robert Williams • 14 avril 2025
Depuis des années, l'ONU et le Forum économique mondial (FEM) dirigé par Klaus Schwab, font la promotion de la surveillance mondiale dans ce qu'on appelle les « villes intelligentes ». La ville intelligente telle qu'elle existe en Chine trace et contrôle les citadins afin d'extraire leurs données pour la mise en place d'un système de crédits sociaux. Schwab semble être un grand admirateur de l'État communiste chinois, qu'il a salué en 2022 comme un « modèle ». Photo : Schwab serre la main du président chinois Xi Jinping au Forum économique mondial, le 17 janvier 2017 à Davos, en Suisse. (Photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images)
Il fut un temps où l'Occident, bien avant les confinements liés au Covid-19, se piquait de liberté, de droit à la vie privée et s'inquiétait de la surveillance et de la collecte de données sur ses citoyens. L'État policier chinois apparaissait, du moins publiquement, comme une abomination pour les droits humains. Il n'est pas exclu qu'aujourd'hui, la Chine soit subrepticement devenue un modèle. Depuis des années, au nom de la protection de l'environnement, au nom de l'efficacité énergétique, de la sécurité et du confort, les Nations Unies et le Forum économique mondial (FEM), dirigé par Klaus Schwab, promeuvent la surveillance mondiale sous forme de « villes intelligentes ». La Chine comptait déjà plus de 500 villes intelligentes en 2018.
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par Bassam Tawil • 8 avril 2025
Les manifestations anti Hamas ne s'expliquent que d'une seule façon : le Hamas est en train de perdre la guerre. Les Occidentaux doivent cesser de projeter leurs valeurs et leurs aspirations sur les sociétés islamistes. Les manifestations dans la bande de Gaza ne marquent pas un tournant vers la paix. Elles sont plutôt le symptôme du nouvel échec des Palestiniens à atteindre leur objectif : assassiner les Juifs et éliminer Israël. Photo : Manifestation anti-Hamas à Beit Lahia, dans le nord de la bande de Gaza, le 26 mars 2025. (Photo : AFP via Getty Images)
Les récentes manifestations anti-Hamas dans la bande de Gaza sont parfois perçues comme une évolution positive et encourageante. Certains analystes politiques occidentaux et arabes s'enthousiasment pour les foules de Gaza, mais ils devraient comprendre qu'elles sont probablement un spectacle monté par le Hamas – un mouvement soutenu par l'Iran - pour abuser le monde et faire croire à un soulèvement populaire contre le groupe terroriste. Dans les années qui ont précédé l'attaque terroriste du 7 octobre 2023, ce même Hamas a multiplié les signaux pour faire croire qu'il n'était pas intéressé par une nouvelle vague de combats. Il a ensuite brutalement assassiné et torturé 1 200 Israéliens et en a enlevé 251. Le Hamas a pour tactique de dissimuler ses terroristes parmi les civils. Des miliciens du Hamas auraient ainsi été aperçus en tête de certaines manifestations à Gaza
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par Majid Rafizadeh • 30 mars 2025
Qu'on le veuille ou non, la nature du régime iranien est indissociable de ses fondements idéologiques. La République islamique d'Iran n'est pas un État ordinaire, ni même une dictature conventionnelle. C'est une entité idéologique structurée par son opposition aux États-Unis, à Israël et à l'Occident. Photo : Le « Guide suprême » iranien Ali Khamenei rencontre le président Massoud Pezeshkian à Téhéran, le 27 août 2024. (Source : khamenei.ir)
Cela fait quatre décennies, que les hommes politiques occidentaux négocient avec le régime islamiste iranien dans l'espoir que son attitude envers l'Occident change. Téhéran s'est vu offrir à jets continus des ouvertures diplomatiques, des incitations économiques et des concessions pour qu'enfin une politique modérée voit le jour. En vain ! Et cela ne changera jamais. Qu'on le veuille ou non, la nature du régime iranien est indissociable de ses fondements idéologiques. La République islamique d'Iran n'est pas un État ordinaire, ni même une dictature conventionnelle. C'est une entité structurée par son opposition idéologique aux États-Unis, à Israël et à l'Occident.
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par Drieu Godefridi • 24 mars 2025
Bruxelles est entrée dans une ère de Far West. Chacun ne compte que sur lui-même pour sa sécurité et a renoncé à s'en remettre aux « autorités » défaillantes. Photo : la police s'efforce de dégager une rue au milieu de violentes émeutes, le 27 novembre 2022, à Bruxelles, en Belgique. (Photo de Nicolas Maeterlinck/Belga/AFP via Getty Images)
En 2016, le président Donald Trump avait comparé Bruxelles (Belgique) à un « enfer ». Ce parallèle avait suscité un certain émoi, sauf au sein d'une certaine « élite » de l'Union européenne qui a réagi avec ce mélange de mépris, d'ignorance et de déni de la réalité qui la caractérise. Trump avait tenu ces propos dans le cadre de discussions sur l'immigration et la sécurité, estimant que la situation à Bruxelles avait empiré au fil des ans, principalement en raison d'une submersion migratoire incontrôlée et sans règle. Déjà, à l'époque, les faits lui avaient donné raison. En 2025, la libanisation de Bruxelles apporte la preuve que ce jugement était visionnaire. Explosion de la criminalité
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par Uzay Bulut • 15 mars 2025
La persécution des chrétiens en Syrie s'est intensifiée depuis qu'Ahmed Al-Sharaa, à la tête du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, affilié à Al-Qaïda, a renversé le régime Assad en décembre 2024. Al-Sharaa porte depuis peu le costume-cravate et se présente à l'Occident comme un « modéré ». Mais dans les manuels scolaires, son gouvernement a remplacé le mot « loi » par « charia » et l'enseignement islamique sert de critère pour recruter la nouvelle armée du pays. Photo : Al-Sharaa serre la main du président turc Recep Tayyip Erdogan lors d'une conférence de presse à Ankara, en Turquie, le 4 février 2025. (Photo par Ozan Kose/AFP via Getty Images)
Malheureusement, les persécutions vont croissant dans la « Vallée des chrétiens » en Syrie (Wadi al-Nasara), une région peuplée majoritairement de Syriens d'origine grecque originaires d'Antioche. Après la prise de Damas et le renversement du régime syrien d'Assad en décembre 2024, les forces d'Hayat Tahrir al-Sham (HTS), un mouvement terroriste affilié à Al-Qaïda, ont fait pression pour que les habitants de la Vallée des Chrétiens rendent leurs armes. Ils ont promis qu'aucune violence ne serait exercée contre les civil, mais les 500 000 chrétiens du pays souffrent aujourd'hui de persécutions ininterrompues et de prises d'otages.
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par Gordon G. Chang • 3 mars 2025
Les chercheurs du tristement célèbre Institut de virologie de Wuhan étudient actuellement le virus Ebola, sans doute pour pouvoir l'utiliser comme arme biologique. Les Américains et autres Occidentaux auront beau essayer, ils n'auront jamais de vraies relations amicales avec la Chine tant que celle-ci restera sous le règne du Parti communiste. Il ne peut y avoir qu'un seul survivant, soit la République populaire de Chine, soit l'Amérique. Photo : un laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan. (Photo de Johannes Eisele/AFP via Getty Images)
Selon certaines informations, Donald Trump souhaite se rendre à Pékin au cours des cent premiers jours de sa présidence et conclure un accord avec la Chine. Malheureusement, un arrangement durable avec le régime chinois n'est pas possible. Pourquoi ? Il est à noter que le Parti communiste chinois (PCC) semble déterminé à tuer tous les habitants des États-Unis. Il y a un quart de siècle, le général Chi Haotian, ministre chinois de la Défense et vice-président de la commission militaire centrale chinoise, aurait prononcé un discours secret prônant l'extermination des Américains. « Il est en effet brutal de tuer un ou deux cent millions d'Américains », aurait-il déclaré. « Mais c'est la seule voie qui garantira l'établissement du 'siècle chinois' – le siècle au cours duquel le Parti communiste dirigera le monde. »
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Vider Gaza ?
Est-ce la chose à faire ? Cela peut-il fonctionner ? Oui.
par Daniel Greenfield • 24 février 2025
Ceux qui jugent injuste et irréaliste d'expulser 2 millions de Gazaouis musulmans trouvent moralement juste et faisable de déplacer près d'un demi-million de juifs. Photo : une voiture chargée de matelas traverse Gaza le 1er février 2025. (Photo de Moiz Salhi/Middle East Images/AFP via Getty Images)
La proposition du président Donald Trump de déplacer les colons arabes musulmans qui vivent à Gaza, a soulevé une vague d'objections furieuses dans la classe politique, chez les activistes et dans les médias. Grosso modo, les objections sont de l'ordre du moral et de la faisabilité. Les « moralistes » affirment qu'il est « mal » de déplacer la population actuelle de Gaza, et les « pratiques » jugent impossible d'y parvenir. Aucune de ces deux objections ne tient. La population juive de Gaza a été expulsée à deux reprises, une fois après l'invasion et la conquête de Gaza par l'Egypte pendant la guerre d'indépendance de 1948-49, et une seconde fois après le « désengagement » de 2005 qui a éliminé de force et expulsé les familles de 21 communautés juives. Non seulement les hommes politiques et les médias n'ont rien objecté au déplacement des communautés juives de Gaza, mais leur éviction a été saluée comme un pas vers la paix dans la région.
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par Bassam Tawil • 19 février 2025
Le président de l'Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, a-t-il cessé de salarier les terroristes palestiniens et leurs familles ? Ou tente-t-il de duper les Américains pour les inciter à subventionner à nouveau l'AP ? La réalité est qu'Abbas n'a pas cessé – et ne cessera jamais – de verser des aides aux terroristes et à leurs familles. Photo : le 23 juillet 2018, lors d'une cérémonie en hommage aux terroristes palestiniens, Abbas a déclaré : « Ni baisse, ni cessation des allocations aux familles des martyrs, des prisonniers et des prisonniers libérés... s'il ne restait qu'un seul centime en caisse, nous le dépenserions pour les familles des martyrs et des prisonniers. » (Source de l'image : MEMRI )
Le président de l'Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, a-t-il cessé de verser des salaires aux terroristes palestiniens et à leurs familles ? Ou tente-t-il simplement de duper les Américains pour les inciter à renouveler leurs subventions ? Le 10 février, la lettre d'information américaine Axios rapportait que : « Abbas a publié un décret révoquant le système des paiements aux familles des prisonniers palestiniens dans les prisons israéliennes ou aux familles des Palestiniens tués ou blessés lors d'attaques contre des Israéliens. »
Le programme de paiement est connu sous le nom de « Pay for Slay » (« Payer pour Frapper »). Des responsables de l'AP ont déclaré à Axios qu'Abbas avait pris cette décision pour améliorer ses relations avec l'administration Trump et avec le Congrès dans l'espoir d'obtenir une reprise de l'aide financière américaine.
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par Majid Rafizadeh • 15 février 2025
Le régime iranien tente désespérément d'assurer sa survie tout en conservant son programme expansionniste. Il se moque des normes internationales ou de favoriser la paix. Photo : le Guide Suprême de l'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, lors d'une cérémonie de remise de diplômes aux officiers du Corps des gardiens de la révolution islamique, le 20 mai 2015 à Téhéran. (Bureau du guide suprême iranien)
Le régime iranien a récemment adopté une attitude inhabituellement conciliante pour négocier avec l'administration Trump. Cette ouverture soudaine à un accord avec l'Occident ne doit tromper personne. Ni l'Occident, et encore moins les États-Unis, ne doivent s'imaginer que les intentions de Téhéran sont sincères ou bienveillantes. Le régime iranien n'a qu'une seule motivations : survivre et faire avancer son programme expansionniste. La paix ou le respect des normes internationales n'ont pour Téhéran aucun sens. Sans cette ligne de conduite en tête, toute négociation pourrait s'avérer fatale.
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par Khaled Abu Toameh • 26 janvier 2025
Si l'attitude des Arabes israéliens à l'égard d'Israël est encourageante, la plupart de leurs dirigeants continuent d'agir contre l'intérêt de leur propre peuple. Ces élus, membres ou anciens membres de la Knesset (Parlement israélien), ont toujours profité du système démocratique pour tenir un discours anti-israélien, causant un énorme préjudice à leurs électeurs. Photo : les arabes israéliens membres de la Knesset Ayman Odeh (à gauche), Ahmad Tibi (à droite) et Aida Touma-Suleiman dans la salle de la Knesset, à Jérusalem, le 10 juillet 2023. (Photo de Menahem Kahana/AFP via Getty Images)
Le Hamas, groupe terroriste palestinien soutenu par l'Iran, a toujours cherché à déclencher une guerre civile entre arabes israéliens et juifs israéliens. A plusieurs reprises, ces dernières années, le Hamas a appelé les deux millions de citoyens arabes d'Israël à se révolter et à rejoindre le djihad contre Israël. Ces tentatives ont été partiellement couronnées de succès. En mai 2021, à l'occasion d'une opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, des Arabes ont attaqué leurs voisins juifs. Rappelons que cette opération militaire répondait à des tirs de roquettes du Hamas et d'autres groupes terroristes palestiniens sur Israël. Heureusement, ces violences de 2021 ont rapidement pris fin.
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par Robert Williams • 19 janvier 2025
Le gouvernement allemand a qualifié d' « islamophobe » l'attentat perpétré par le Saoudien Taleb al-Abdulmohsen sur un marché de Noël bondé de Magdebourg ... comme s'il cherchait à dissimuler la nature islamiste de cet acte terroriste». Le 20 décembre, Abdulmohsen s'est enfoncé en voiture sur plus de 200 mètres dans le marché de Noël, tuant un garçon de neuf ans et quatre femmes ; mais aussi blessant plus de 200 personnes, dont 40 grièvement. Photo : les ambulanciers évacuent les personnes blessées lors de l'attaque. (Photo de Craig Stennett/Ge tty Images)
Depuis le 20 décembre, la ville allemande de Magdebourg a intégré la triste liste des villes touchées par les attentats terroristes perpétrés par des migrants musulmans. C'est sur son marché de Noël que le terroriste saoudien Taleb al-Abdulmohsen a utilisé sa voiture comme un bélier fonçant sur plus de 200 mètres, tuant un garçon de neuf ans, quatre femmes, et blessant plus de 200 personnes, dont 40 très grièvement.
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par Gordon G. Chang • 19 janvier 2025
(Photo de Olivier Douliery/AFP via Getty Images)
Le Washington Post a rapporté le 15 janvier que le président élu Donald Trump envisageait de promulguer un décret suspendant la « loi sur la protection des Américains contre les applications contrôlées par des Adversaires étrangers ». Cette loi est souvent appelée à tort « l'interdiction de TikTok ». Trump n'a pas le pouvoir de suspendre la loi par décret. En tout état de cause, retarder son application, même en conformité avec les dispositions de la loi, serait une grave erreur. TikTok, la société chinoise ByteDance Ltd. (propriétaire de TikTok) et les créateurs de TikTok ont demandé à la Cour suprême de réexaminer la décision dans l'affaire TikTok Inc. c. Garland , rendue le mois dernier par la Cour d'appel des États-Unis pour le circuit du district de Columbia, confirmant la constitutionnalité de la mesure.
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par Gordon G. Chang • 6 janvier 2025
Elon Musk est brillant lorsqu'il s'agit de fournir ce dont le monde a besoin, mais il est ignorant en ce qui concerne Taïwan. Ses conclusions ne pourraient être plus erronées. Photo : Musk rencontre le Premier ministre chinois de l'époque, Li Keqiang, à Pékin, le 9 janvier 2019. (Photo de Mark Schiefelbein/AFP via Getty Images)
« Vous savez, de leur point de vue [des autorités chinoises], c'est peut-être considéré comme analogue à Hawaï ou quelque chose de ce genre, comme une partie intégrante de la Chine qui ne fait arbitrairement pas partie de la Chine principalement parce que [...] la flotte américaine du Pacifique a empêché toute tentative de réunification par la force », a déclaré Elon Musk au sujet de Taïwan lors du Sommet All-In qui a eu lieu à Los Angeles en septembre dernier. En mai, M. Musk s'est entretenu sur le même sujet avec la chaîne CNBC. « La politique officielle de la Chine est que Taïwan doit être intégrée », a-t-il laissé entendre. « Il n'est pas nécessaire de lire entre les lignes. Il faut se contenter de lire les lignes. » L'homme le plus riche du monde a poursuivi : « Je pense qu'il y a une certaine inévitabilité dans cette situation. »
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par Drieu Godefridi • 4 janvier 2025
L'Allemagne a l'électricité la plus chère d'Europe. Sa dépendance à des sources d'énergie aléatoires (éolienne, solaire) et sa sortie précipitée du nucléaire, ont compromis son autonomie énergétique, et à terme celle de l'ensemble du continent. Photo : un ensemble de panneaux solaires exploités par la multinationale énergétique RWE, dans la mine de lignite à ciel ouvert de Hambacher Forst, près d'Elsdorf, en Allemagne, photographiés le 12 novembre 2024. (Photo d'Ina Fassbender/AFP via Getty Images)
La production d'énergie solaire et éolienne chute drastiquement quand les conditions climatiques deviennent défavorables. Ce phénomène n'a rien d'exceptionnel, il se produit chaque année. Mais les répercussions économiques et environnementales de cette situation ont pris une importance considérable : elles mettent à nu les failles d'une politique énergétique basée sur les énergies renouvelables intermittentes. Pourquoi l'Allemagne, qui affiche une empreinte carbone parmi les plus élevées, consomme-t-elle aujourd'hui l'électricité la plus chère d'Europe ? Comment le pays a-t-il perdu son autonomie énergétique ? Depuis une quinzaine d'années, l'Allemagne investit massivement dans le solaire et l'éolien, tout en sabotant ses centrales nucléaires. En 2023, les énergies renouvelables ont représenté 55 % de la production d'électricité du pays. Contre 48 % en 2022.
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par Nils A. Haug • 29 décembre 2024
Les appels au boycott des Israéliens et des Juifs sont devenus systémiques. Un programme agressif est en cours à l'échelle mondiale pour effacer l'influence juive dans le monde universitaire, la science, la technologie et la culture. Ces initiatives de boycott semblent être causés par une haine des Juifs profondément ancrée au sein des sociétés occidentales. Photo : des membres des SA et des SS nazis à Berlin collent une pancarte sur un magasin juif, appelant les Allemands à boycotter les entreprises juives, le 1er avril 1933. (Photo de Hulton Archive/Getty Images)
En novembre 2024, sans oser trop l'afficher, l'Australie a refusé qu'Ayelet Shaked, ancienne ministre israélienne de la Justice, pose le pied sur le sol australien. Elle devait participer à une conférence sur l'actualité politique du Moyen-Orient. Cet évènement qui devait avoir lieu dans un cadre communautaire juif était organisée par l'Australia Israel & Jewish Affairs Council (AIJAC). Colin Rubenstein, directeur général de l'AIJAC, a dénoncé le refus - jamais clairement motivé - de Tony Burke, ministre australien de l'Intérieur, d'accorder ce visa. « Refuser un visa à... Shaked au motif qu'elle vilipenderait les Australiens et inciterait à la discorde au sein de la nation est un acte d'hostilité honteux envers un allié démocratique » a déclaré Rubenstein
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